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lenamwanza

28 mai 2013

MWANZA KYEMBE MARLENE Kolwezi, le 15 mars 2013 L1

MWANZA KYEMBE MARLENE                        Kolwezi, le 15 mars 2013

L1 / SIC

Faculté des lettres et Sciences Humaines

UNIKOL

Travail pratique

Cours : Nouvelles technologies de l’information et de la communication

Thème : Les multinationales en République Démocratique du Congo

  1. La multinationale : Quid ?

 

I.1. Définition

 

-      Une multinationale ou transnationale est une entreprise implantée dans plusieurs pays par le biais de filiales dont elle détient tout ou une partie du capital.

I.2. Ses caractéristiques

-       Une multinationale est une entreprise « le plus souvent de grande taille, qui, à partir d’une base nationale, a implanté à l’étranger plusieurs filiales dans plusieurs pays, avec une stratégie et une organisation conçues à l’échelle mondiale ».

-       Les multinationales, ces entreprises :

 

  • Qui pensent globalement
  • Qui n’ont pas de loyauté spécifique et
  • Qui prennent leurs décisions selon des questions d’économie d’échelle, de politique fiscale et de rapatriement des profits,…

ont des capitaux, biens et technologies extrêmement flexibles.

-       Une multinationale est une entité légale de droit privé, agissant dan plusieurs Etats, mais avec un seul centre ou un centre principal de décision.

I.3. Nombre des multinationales

-          On estime leur nombre à 80.000, pour 840.000 filiales et 75.000.000 de salariés.

-          Elles ne représentent les 2/3 du commerce mondial, leur nombre a considérablement augmenté depuis 1990 alors qu’il était de 37000.

 

 

 

I.4. Ses justifications

-          La multinationalisation d’une entreprise répond à cinq déterminants principaux :

 

  1. La recherche d’un accès direct aux matières premières, notamment durant la colonisation (SGM)
  2. Le besoin de contourner certaines entraves à l’échange. Exemple : produire sur le marché où le produit sera consommé afin de ne pas être affecté par les tarifs douaniers à l’importation (ex : pneus Good year)
  3. La recherche de débouchés extérieurs suite à l’intensification de la concurrence sur le marché intérieur.
  4. La perte d’un avantage technologique sur le marché national peut contraindre les entreprises à le produire à l’étranger, à moindre coût, afin de pouvoir continuer à le produire continuer à le produire de façon rentable.
  5. La recherche de coûts de travail plus faibles.

I.5. Causes des multinationales

-      Le protectionnisme national et le cycle de vie des produits sont les causes des investissements des entreprises à l’étranger.

 

  1. En effet la politique protectionniste vise le plus souvent à protéger les entreprises nationales non performantes de leurs concurrentes étrangères.

Suivant les lois de l’offre et de la demande, l’entrave créée à l’importation, combinée à l’l’incapacité des entreprises nationales à répondre à la demande, contribuent à créer une situation de rareté enclin à provoquer une hausse importante des prix des produits concernés.

 

Il devient alors intéressant pour les entreprises étrangères  de s’installer sur le territoire afin de profiter de ses prix élevés.

 

  1. Dans un premier temps, le produit tout juste conçu doit être testé : le marché national est alors le plus indiqué. Ce dernier doit suffire à tirer profit d’une nouveauté du fait de l’absence de concurrents. Arrivant à un stade de maturité, l’entreprise sur le point de perdre l’exclusivité sur le produit est incitée à le vendre sur les marchés étrangers avant l’arrivée de ses futurs concurrents.

 

Le produit s’il connait un important succès est produit en des quantités plus importantes, ce qui provoque une baisse de son prix. Il devient donc accessible aux consommateurs de pays moins aisés.

 

Lorsque le produit atteint un stade  de standardisation et se banalise, l’entreprise se doit d’en délocaliser la production dans les pays à bas salaires pour le réexporter par la suite dans les pays riches.

 

L’entreprise peut éventuellement aussi en délocaliser la production dans d’autres pays riches qui profiteraient d’avantages technologiques le tout étant de réduire le plus possible les coûts de production dans un contexte de concurrence sur les prix.

 

Voilà les véritables causes des multinationales :

-      Le protectionnisme et

-      Le cycle de vie des produits.

I.6. Classement des multinationales

-      La plupart des multinationales sont originaires des pays développés. Il y a par exemple :

 

  1. HILTON (Etats-Unis)
  2. BOMBARDIER (Canada)
  3. Schlumberger (France)
  4. Virgin (Royaume-Uni)
  5. Santander (Espagne)
  6. Fiat (Italie)
  7. Nestlé (Suisse)
  8. Ikea (Suède)
  9. Arcelor Mittal (Lux X)
  10. Siemens (Allemagne)
  11. Red Bull (Autriche)
  12. Honda (Japon)

 

-      Cependant, depuis le début du XXI siècle, les multinationales des pays émergents gagnent des places dans la hiérarchie mondiale, ainsi on pouvait en recenser 47 dans le classement « Fortune 500 » en 2006 contre 19 en 1990. Les plus importantes sont :

 

  1. Hutchison Whampoa (Hong Kong)
  2. Petronas (Malaisie)
  3. Singtel (Singapour)
  4. Samsung (Corée du Sud)…

Les pays du sud ont représenté en 2005, 13% des fusions-acquisitions.

I.7. Historique des multinationales

-      Les multinationales existent depuis des centaines d’années. Cependant c’est vers la fin des années 1970 que ces sociétés sont montées en puissance et en nombre.

 

  • Au début des années 1980, on comptait 7000 multinationales. En 2002 elles étaient 64000 contrôlant 870000 fiscales employant 54 millions de personnes et représentant 70%.
  • De même, les IDE (Investissements Directs à l’Etranger) sont passés de 1600 milliards de dollars en 1990 à 6600 milliards en 2001.
  • Certaines firmes sont désormais considérées comme étant comparables à des Etats. Selon PNUD en 1999, financièrement,

 

  • La société américaine FORD équivalait à la Norvège
  • La japonaise Mitsui à l’Arabie Saoudite
  • La japonaise Mitsubishi à la Pologne

Ces analogies ne sont pas forcément très pertinentes, car une comparaison entre le produit intérieur brut (PIB) et le chiffre d’affaires n’est pas significative. Le PIB, en effet, prend uniquement en compte la valeur finale, alors que le CA ne rend pas en compte de ce qui a été produit en dehors de l’entreprise.

  • Les multinationales jouissent d’un poids très important comparées aux Etats dans certains domaines. Ainsi en 2000, 208 milliards USD ont été envoyés vers les pays en développement par ces entreprises et ce, contre seulement 53 par les Etats.
  • De plus, la tendance de ces firmes est à la concentration par le moyen de fusions ou d’acquisitions, ainsi l’importance des plus grandes multinationales comparée à toutes les autres s’accroit augmentant leur influence individuelle.
  • Les multinationales sont les vecteurs incontournables de la globalisation économique et financière.

 

Leur rôle est devenu si important que l’on parle au début du XXIe siècle de « diplomatie triangulaire »

 

C’est-à-dire entre :

-      Gouvernements,

-      Entreprises et

-      Entreprises-gouvernements

 

Dès lors la puissance n’est pas simplement une question de souveraineté, d’armée ou de territoires mais une combinaison complexe d’ordres économiques et sociaux basés sur les modes spécifiques des productions.

I.8. Tendances et perspectives

-      Au début de ce XXIe siècle, deux tendances sont à considérer :

 

ü Tout d’abord la transnationalisation n’est plus le monopole de grandes firmes, puisque de plus en plus de PME pensent directement à s’implanter sur un marché multinational.

ü Ensuite, les multinationales venant de pays émergent commencer à peser sur l’économie mondiale.

I.9. Rapports entre les multinationales et les Etats

-      Les multinationales sont définies comme une réponse aux pratiques protectionnistes des Etats.

-      En effet, il s’agit de créer des filiales au sein de pays étrangers afin de contourner leurs politiques douanières restrictives.

 

On peut aller plus loin en considérant le phénomène de transnationationalisation comme un moyen pour les firmes de fuir, ou plutôt d’éviter les risques liés aux Etats,

 

« Espace national de production unique et de dépendance juridique, économique, sociale et politique. »

 

Facteur de puissance des Etats

 

-      Les multinationales possèdent les plus souvent un centre principal de décision, l’Etat peut avoir une influence sur elles et les utiliser comme instruments.

 

« Quel que soit l’internationalisation de ses opérations » une société « appartient psychologiquement et sociologiquement à sa région d’origine. Dans le pire des cas, ses directeurs accepteront toujours les souhaits et ordres des gouvernements qui ont édité leurs passeports et ceux de leurs familles. »

 

Menaces des multinationales

 

-      La flexibilité des multinationales fait qu’elles peuvent être considérées comme des menaces pour les Etats.

 

En effet, les multinationales créent leur propre espace économique indépendamment des Etats et leur flexibilité leur permet d’exploiter les disparités de législations sociales ou environnementales, de mettre ces derniers en concurrence.

 

La souveraineté des Etats est alors soumise aux stratégies globales des plus grandes multinationales. Correctement, par exemple : l’aménagement d’un port dépend désormais, au XXIe siècle, moins des plans décidés par le gouvernement que ceux des chargeurs, armateurs ou opérateurs des multinationales…

 

-      Ces sociétés peuvent alors exploiter massivement les ressources naturelles d’un pays ou relocaliser leurs activités les plus polluantes vers les moins regardants.

 

En cas de fraudes, il est difficile de les réprimer, car leurs activités illicites sont souvent installées entre deux ordres juridiques peu capables de les sanctionner.

« Le droit international sur le commerce n’ayant pas quant à lui la possibilité ou même la volonté de les atteindre et les ordres juridiques internes étant limités par des frontières internationales imperméables aux enquêtes et aux poursuites.

 

-      En plus d’influencer les Etats par un lobbying dont aucun autre acteur n’a les moyens, les multinationales peuvent avoir recours à de la corruption.

 

Cela peut aller de la corruption d’agents publics en vue de l’obtention d’un marché, à de la capture d’Etat. Dans cette dernière, la corruption a lieu le plus en amont possible de la décision, au niveau de la législation.

 

-      Les multinationales ont des fois les pouvoirs qui vont jusqu’au contrôle des gouvernements (Républiques de Bananes ou bananières) ou même jusqu’à renverser un régime qui leur est défavorable.

 

Ces multinationales privent les Etats des moyens d’intervenir dans leur évolution économique, dans le niveau de l’emploi, le niveau de vie ou la protection sociale de leur population.

Conflits et règlements

-      Face aux menaces : « une résistance unilatérale des Etats s’est mise en place, par des mesures financières ou en allant parfois jusqu’aux nationalisations.

 

En se basant sur une déclaration onusienne de 1952 reconnaissant « aux pays insuffisamment développés le droit de disposer de leurs richesses naturelles. » 1639 procédures de nationalisation ont été lancées entre 1960 et 1975.

 

-      En plus de ces mesures unilatérales, des réponses multilatérales ont été données telles :

 

ü  La création en 1974 d’une commission des multinationales qui deviendra en 1994 « la commission de l’investissement international et des sociétés multinationales ». En 1976, l’Organisation pour la coopération et le Développement Economique (OCDE) lance un « Code de bonne conduite à l’intention des entreprises multinationales »

ü  L’Organisation internationale de Travail (OIT) adopte une « déclaration tripartite sur les principes concernant les entreprises multinationales et la politique social »

 

  1. Le respect de la souveraineté du pays d’accueil,
  2. Le respect des droits de l’homme et
  3. Le respect de l’investissement.
  4. Le respect de l’environnement, en 1999, par KOFI ANAN.

 

-      De façon générale, la tendance n’est plus à la confrontation Etats-multinationales mais plutôt à la coopération.

 

Coopérations

 

-      Finalement la législation des Etats s’est adaptée aux multinationales en augmentant leur autonomie tout en évoluant vers l’utilisation des principes de contrats et d’un système de courts  de justice privée pour organiser et réguler les échanges commerciaux transfrontaliers avec leurs avocats, les arbitres internationaux, les intellectuels du milieu juridique selon une nouvelle Lex Mercatorio.

 

-      Les Etats ont désormais la volonté d’aider les multinationales en se soutenant par exemple dans l’obtention de nouveaux marchés, en protégeant les investissements des multinationales…

 

-      Les multinationales sont le secteur  principal des transferts des capitaux et donc de richesses.

 

I.10. L’Impact des multinationales

 

Expansionnisme capitaliste des USA

 

-      Les entreprises multinationales sont effectivement l’expression de l’expansionnisme américain et ne peuvent être séparées des objectifs larges de la politique extérieure américaine ;

 

Les liens de sécurité entre les Etats-Unis et l’Europe occidentale facilitent l’expansion outre. Atlantique des entreprises américaines ; la pax americana fournit le cadre politique à l’intérieur duquel ces activités économiques et transnationales ont eu lieu.

 

-      « Les multinationales n’existent que grâce et pour les Etats, et ne seraient donc pas des acteurs autonomes. Ce sont des légions au service des Etats. »

 

-      L’inégalité entre le Nord et le Sud va alors en grandissant, puisque les grands Etats, comme les Etats-Unis ont la possibilité de peser sur les multinationales, tandis que les Etats faibles se retrouvent démunis.

 

« Une asymétrie grandissante est constatée entre les Etats forts dotés d’un pouvoir structurel et les Etats faibles qui en sont démunis »

 

Dépendance et domination centriste

 

-          Les multinationales sont un objet privilégié de l’approche dépendantiste.

 

Celles-ci participent activement :

 

ü  A l’exploitation de la périphérie (main d’œuvre des pays du tiers monde, matières premières, Sol,…)

ü  Par le centre du centre (décideurs des firmes, gouvernements des pays occidentaux)

ü  Avec l’aide du centre de la périphérie (dirigeants des filiales, gouvernements corrompus)

ü  Et de la périphérie du centre (consommateurs)

 

-      Les multinationales peuvent être vues, comme des tentacules de la domination capitaliste, comme une promotion du pouvoir privé contre le pouvoir public.

 

Ainsi peut-on observer un phénomène de dénationalisation des économies de la périphérie, tandis qu’en 1999, 90% des sièges des multinationales étaient présents dans la triade Etats-Unis, Europe et Japon.

 

-      Ces multinationales permettent aussi la diffusion d’un mode de consommation parfois  inadapté.

 

L’exemple du lait en poudre en Afrique subsaharienne est représentatif dans ce domaine. Cette diffusion culturelle pourra ensuite auto-entretenir cette domination par création de besoins nouveaux au sein des populations de la périphérie.

 

-      Les multinationales semblent le plus souvent agir dans l’intérêt du centre.

 

Ainsi l’industrie pharmaceutique consacre 0,2% de sa recherche à la tuberculose, alors que cette dernière représente 18% des malades à l’échelle mondiale. Pourtant une grande partie de la fabrication de médicaments provient des ressources minérales et génétiques des pays du Sud.

 

 

Mondialisation asymétrique

 

-      La mondialisation est la mise en œuvre de quatre processus :

 

  1. La globalisation financière
  2. L’organisation mondiale de la production
  3. La libre circulation des marchandises et
  4. L’instantanéité de l’information.

A cette vue, les multinationales ont sans doute un rôle majeur dans cette transformation récente du monde qu’est la mondialisation.

-      Les multinationales sont souvent l’objet de débats passionnés.

 

Certaines y voient une source de richesses et se réjouissent de l’homogénéisation politique et de l’interdépendance économique mondiale que les multinationales entrainent, y voyant un facteur de croissance et de paix.

 

D’autres y voient les vecteurs d’une exploitation grandissante entre les riches et les pauvres. C’est ainsi qu’on qualifie les multinationales de « tyrannies privées et « d’institutions totalitaires » dans la mesure où elles exercent un pouvoir de plus en plus important en dehors de tout contrôle démocratique.

 

  1. Les multinationales et la RDC

II.1. Existence des multinationales en RDC

-      L’économie du CONGO a toujours été aux moins de multinationales depuis la déclaration de BERLIN de 1885, car le CONGO a été et est depuis lors, virtuellement « balkanisé » c’est-à-dire divisé virtuellement entre les puissances économiques du monde au travers des multinationales qui écument la République Démocratique du Congo depuis l’Etat Indépendant du Congo.

II.2. Spécialité des multinationales en République Démocratique du Congo

-      Les multinationales en République Démocratique du Congo ont contribué dans une certaine mesure à l’élaboration du « PROJET DE BALKANISATION »

II.3. Un peu d’histoire sur ce projet de balkanisation

-      Ce « vaste projet » de balkanisation de la République Démocratique du Congo est vieux.

C’est une idée machiavélique qui tire son origine de la Conférence de Berlin de 1885 dont l’Acte Général est la colonisation.

 

Ce « vaste projet » était le partage de l’Afrique par les pays occidentaux. Pendant cette même conférence, l’Afrique est déclarée « res  nullius » c’est-à-dire : « chose n’appartenant à personne »

 

Ce qui permit aux Européens de « se servir officiellement et sans scrupules »

 

Mais, il faut préciser que l’idée de la balkanisation, en de temps-là, visait en fait une privatisation d’un milieu moins peuplé qui regorge de richesses, alors qu’entre 1885 à 1889 le CONGO avait perdu une bonne partie de la population par esclavage ou la traite des noirs.

 

Le pays si grand se retrouvait presque vide à l’intérieur et contenait des richesses que les grandes puissances commençaient à peine de découvrir, d’où : « décision de grandes puissance de balkaniser le CONGO ».

 

Et chacun trouvant la répartition des parts dans l’exploitation : importante, avança des idées et points de vue différentes.

 

-        Parmi ceux qui avancèrent leurs points de vue, figurent les Etats-Unis qui prirent de l’avance à la conférence de BERLIN, le 24 avril 1884, pour proposer la reconnaissance du CONGO comme Etat, mais plus précisément comme : « Etat Fédéral » en avançant l’idée qu’il y avait existence des empires et plusieurs tribus qui étaient constituées en différentes entités coutumières.

L’idée de la fédéralisation à cette époque ne pouvait qu’amener à beaucoup de réflexions.

 

Le CONGO reconnu comme Etat devenait en ce moment-là  Juridiquement  parlant  bénéficiaire  des  prérogatives  que  devait  avoir  un Etat comme tous les autres à ce moment-là.

II.4. Les multinationales en RDC

 

De l’Etat Independent du Congo au Congo Belge

 

-      Après la conférence de Berlin, le Congo fut nommé propriété privé du Roi  LEOPOLD II, chose qui ne semblait vrai, car il ne fut pas le seul à le posséder le Congo ou à l’exploiter à cette époque.

 

-      Les grandes puissances se représentaient avec 63 multinationales qui avaient signaient des contrats avec le Roi LEOPOLD II pour l’exploitation du Congo.

 

-      En fait, le Roi LEOPOLD II comme par ailleurs, plu tard, les colonialistes Belges n’avaient de rôle que des gestionnaires ou superviseur ayant certains droits et responsabilités sur la négrière exploitation des congolais et surtout de leur patrimoine naturel ce qui, vers le début du XXème siècle, révolta les KIMBANGU et autres et ils en payèrent le prix fort de leur vie.

De la Ière république à nos jours

-      Les multinationales ces tyrannies privées, ces institutions totalitaires avec leurs travers politiques, juridiques, économiques, sociaux que sont :

1. Le vieux et vaste projet de balkanisation du Congo  maintenant RDC.

2. Les guerres d’agression et d’occupation ;

3. Les délocalisations des autochtones ;

4. Les pillages des richesses du sol et sous sol ;

5. Les viols des masses, la propagation délibérée du VIH/SIDA, les violations des  droits de l’homme.

 

-  Vues sous cet aspect, les multinationales, pour bon nombre des Congolais, sont une vieille  et triste réalité qu’il faut conjurer nationalement.

 

 

 

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